D'autres concerts, d'autres travaux comptables, d'autres fêtes de famille en perspective. C'est la vie !
dimanche 2 décembre 2007
Retour au calme
D'autres concerts, d'autres travaux comptables, d'autres fêtes de famille en perspective. C'est la vie !
dimanche 4 novembre 2007
Dibanche au chaud
-----Paracétamol
----------Mouchoirs
---------------Canapé
--------------------Siestes
vendredi 2 novembre 2007
English is delicious

mercredi 31 octobre 2007
"Le Bateau de ma chambre"
C’est le lièvre ou le renard
J’ai vu des pas sur la neige
C’est ma sœur qui rentre tard
Je suis tout seul en décembre
Mes amis s’en sont allés
Et le bateau de ma chambre
Loin de vous s’est échoué
Ce dernier jour d’octobre recouvert par le brouillard ressemble furieusement à ce texte de Gaby Marchand.
samedi 27 octobre 2007
Le Son de l'autre violon
Curieusement, avec le violon, c’est l’inverse. Je me cache pour jouer, consciente de mes fausses notes et de mon archet mal assuré. Et je prends un plaisir immense à écouter l’autre violon, celui qui virevolte sous les doigts des virtuoses et qui ne laisse pas entendre la difficulté.

vendredi 26 octobre 2007
De l'art de vider son grenier

Le résultat final fut stupéfiant. A la fin de la journée j’avais devant moi trois petits cartons au lieu des vingt initiaux, et ma cagnotte se montait à plus de 300,00 € ! Mon but était atteint et j’avais fait des heureux, y compris le petit garçon qui s’était payé un ballon de foot Adidas cuir véritable en parfait état dans son filet pour la modique somme de 50 centimes. Je ne serai jamais riche sur mon compte en banque, mais le regard de ce gamin devant son petit porte-monnaie vaut tout l’or du monde.
mercredi 24 octobre 2007
De l'importance du Nutella

Unique ? Non, il en existe un autre, pas si éloigné. Un jour mon amie Sarah, étudiante américaine en charge d’un cours d’anglais à la faculté de Nancy, a eu l’heureuse idée de motiver ses étudiants avec des friandises achetées au hasard au supermarché local. « Quand j’ai sorti les œufs Kinder de mon sac, à mon très grand étonnement, mes étudiants se sont instantanément transformés en enfants de 6 ans ! »
De là à conclure que Ferrero détient un pouvoir insoupçonné sur le moral des Européens…
dimanche 21 octobre 2007
The Lord's Prayer
Mais fondamentalement, je crois que la transcendance est en chacun de nous et qu’elle définit notre humanité. Si je pense que la mort est la fin, je crois aussi que nous n’existons pas que dans notre propre corps mais surtout dans notre esprit et dans l’esprit de tous ceux que nous connaissons. Il n’est donc pas besoin d’attendre une hypothétique retrouvaille « après la mort » car la relation ne fait que se transformer par le décès de l’un. Nous continuons à projeter dans l’absent des intentions et des pensées. Simplement nous ne recevons plus de réponse extérieure à cette projection. A nous de l’inventer pour combler notre manque.
vendredi 19 octobre 2007
Les Langages ineffables 2 - Le Regard de la biche

Quelques jours avant le soir fatidique, alors que je réfléchissais avec le plus grand sérieux à mon dilemme, un premier chat est venu visiter mes genoux. Celui-ci a des yeux tous ronds, qui lui donnent un air de perpétuel ahuri. Ou plutôt qui me font projeter sur lui cette image de perpétuel ahuri. Puis un second chat est monté sur mon canapé. Celui-là s’effraie pour un rien mais ronronne à la première caresse avec une magnifique expression de contentement.

Mais j’avoue avoir eu beaucoup de mal à garder mon sérieux tout au long de ma performance car la voix d’Eddie Izzard résonnait dans mes oreilles : « Did I leave the gas on ? No, I’m a fucking squirrel ! ».
jeudi 18 octobre 2007
Les langages ineffables 1 - BWV 245

A en croire le philosophe Vladimir Jankélévitch, c’est impossible. Selon lui, le mystère de la musique renvoie au travail sans fin, inlassable, inépuisable du langage pour dire ce qui ne peut se dire ou se dire que par allusion, suggestion, allégorie, métaphore.
La musique serait-elle plus apte à exprimer nos sentiments que les mots ?
mercredi 17 octobre 2007
Ma langue au chat
Pingatsitut 17 Arnalinnguutivik
Wednesday 17 October
Un brillant professeur m’a dit un jour qu’on pouvait choisir sa langue natale. J'ai alors pensé que je pouvais aussi bien en avoir plusieurs. Français, anglais, comment choisir ? Selon l’humeur, l’interlocuteur, le lieu, le sujet, la musique… et quelques gouttes d’autres langues pour la curiosité. Sans parler de tous les langages ineffables.
