mardi 25 octobre 2011

Professionnelle

J'ai avoué dans un précédent message avoir abdiqué devant une difficulté technique de la Messe en ut de Mozart. Je ne sais pas quelles sont les connaissances musicales du journaliste de l'Est Républicain qui a assisté à notre prestation le 15 octobre dernier, mais une chose est sûre, il ne s'en est pas aperçu. Quelle ne fut pas ma surprise de lire dans un article dithyrambique que notre orchestre était "composé en majeure partie de professionnels"... La vérité est que seul un tiers de nos musiciens est professionnel, et que tous les autres avaient, comme moi, bien travaillé. Et si j'en crois donc les oreilles du journaliste, notre rendu était à la hauteur d'un orchestre de pros. La classe.

dimanche 23 octobre 2011

Journée tranquille

Première journée à la maison depuis... quinze jours ! Soleil par les fenêtres, chaleur des radiateurs, chats allant et venant, de jolies histoires à la télévision, un peu de violon, ménage dans mes affaires... c'est bon, le calme d'un dimanche d'automne.

mardi 11 octobre 2011

Un pas en arrière, un pas en avant

Bon, j'ai abdiqué sur les trilles dans le Laudamus Te de la Messe en ut de Mozart. Après trois mois de travail, je me rends à l'évidence : j'y arrive pas !!
Mais ! Mais là où j'ai persisté, c'est pour atteindre le haut de cette voie d'escalade, la 5C noire sur le côté, là. En moulinette ? Non, pas question ! Je suis tombée, certes, j'ai essayé plusieurs semaines, mais j'ai finalement réussi à la faire en tête. Non mais.

dimanche 2 octobre 2011

Temps

Le temps file. En à peine une semaine, mon esprit s'est promené d'un monde à l'autre.
J'ai travaillé, escaladé, fait de la musique, comme chaque semaine.
J'ai aussi dit bonjour à un petit garçon qui venait de naître, en le caressant du doigt. Magique.

J'ai passé des heures à monter un dossier de candidature pour le Canada. Incertitude.
J'ai appris que j'étais bel et bien titulaire d'une maîtrise d'anglais et non d'un simple "master 1ère année". Contentement.
J'ai arpenté une voie romaine où les chariots en avaient creusé le grès. Vertige.

Et me voilà revenue dans mon nid, entourée de chats ensommeillés, comme si de rien n'était... Et la semaine prochaine, alors ?