dimanche 28 février 2010

Dogora

Ce week-end j'ai eu la chance de passer douze heures en répétition. Si si, la chance. Car outre le Stabat Mater de Francis Poulenc, nous avons travaillé une pièce contemporaine appelée Dogora. Ecrite par le compositeur Etienne Perruchon, Dogora est une oeuvre pour choeur d'enfants, choeur d'adultes et orchestre symphonique. En 2006 j'avais déjà vibré au milieu du pupitre de sopranos lors de sa première représentation à la salle Poirel de Nancy (une première mondiale, s'il vous plaît). Dimanche prochain je m'essaierai à la partition de violon à l'Arsenal de Metz. Et c'est un régal tout aussi intense, même sans les mots d'une langue inventée dans la bouche.
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J'ai fait écouter cette musique à diverses personnes, certaines rompues aux oeuvres classiques, d'autres étrangères à ce monde. Et toutes, unanimement, ont éprouvé une grande émotion à son écoute. Alors si vous ne connaissez pas encore Dogora...

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