Il y a huit ans, j’ai connu la révolte en entendant la Cour Suprême des Etats-Unis interdire le recomptage des votes de l’Etat de Floride. Il y a quatre ans, j’ai perdu foi en la nature humaine en constatant l’aveuglement des électeurs américains. Aujourd’hui je pleure, doucement, comme soulagée d’avoir à nouveau le droit d’aimer les Etats-Unis.
Manhattan, New York, 1988
3 commentaires:
mais non, non, non...!!!
masi enfn, tu n'a rien compris!
c'est tous des salauds et des cretins.
le obama est un politique--dans le sens le plus bas et pourri du terme--avise.
ce sont tous sans exceptions des ordures et des crapules.
du neuf??
don't hold your breath--you're already blue...
rien mais rien ne changera...
il y a pire a venir...
http://www.lewrockwell.com/
http://counterpunch.com/
http://counterpunch.com/
parti de liverpool...
c'est exact..une belle metaphore
Je ne faisais pas référence à Obama lui-même, je ne le connais pas du tout et seul l'avenir nous dira de quoi il est capable. J'exprimais juste mon soulagement d'avoir enfin à nouveau le droit d'aimer publiquementles Etats-Unis depuis ma France natale puisque depuis les élections la cote américaine est remontée dans l'opinion française! Et ça fait du bien de ne plus avoir à se défendre...
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