J'ai passé mon après-midi avec mon violon dans les mains, un micro sous le nez et un casque sur les oreilles, entourée d'un compositeur, d'un contrebassiste, d'une violoncelliste et d'une altiste. Près de cinq heures et 129 prises ont été nécessaires pour enregistrer trois pages de musique. On pourrait croire l'exercice répétitif et donc ennuyeux. Que nenni ! La seule expérience du son de mon instrument en retour dans mon casque, à la fois étranger et pourtant si conforme à mes mouvements, était à la fois déroutante et fascinante.
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